Je recommande absolument ce film. Il est très bien réalisé et tres bon dans son exécution dans l'ensemble.
Loin de moi toute envie de faire de la volonté de faire de l'essentialisme générationelle mais les génerations des années 1990/2000 auront un avantage sur les vielles générations concernant certains clin d'oeil artistique qui selon moi, sont évidement.
Attention : SPOIL.
En effet, j'ai retrouvé des clins d'œil à Ratatouille, à Neuilly sa mère et a ma grande surprise, au musique Naha et Onizuka. Eh oui.
Concernant Ratatouille, le meilleur ami d'Antoine me fait penser à Émile, le frère de Rémy (qui serait donc Antoine, le petit rat de laboratoire ? Haha) il mange n'mporte quoi et constamment.
La référence a Neuilly Sa Mère est plus subtile car très commune en soit. La fameuse lutte des classes. Comme dans Neuilly Sa Mère, Antoine va quitter sa cité pour vivre et cotoyer la Bourgeoisie Parisienne. Cela va créer une dychotomie chez lui. Il est partagé entre ses origines "modestes" de jeune rappeur/beatboxeur de banlieue et la stature et l'appartenance à l'élite française. Ce qui va créer des ruptures importantes et des déconvenues cléfs mais également à une critique particulière et très originale selon moi mais on y reviendra.
La dernière semble dénuée de sens. Pourtant c'eqt un déclic que j'ai eu directement. Le héros, Antoine avant detre repéré pour son talent est un rappeur et un guetteur.
En effet, il surveille la police afin de garantir la sécurité de combats clandestins ou son grand frère, Didier participe pour qu'il puisse assurer le confort de son cadet et ses études comptabilité. Ici on a un parallèle avec Ademo, dans Naha qui contrôle son quartier et egalement la principale source de revenu de sa famille. Son point de deal. Or tout comme dans le clip de Naha, Didier finit en prison. Là où Antoine sèche les cours pour une autre activité.
Les plas notamment de l'amphi avec une seule place vide, celle de N.O.S qui progressivement s'écarte de ce q'il dit.