Magnifique reportage, vraiment émouvant ! A l'évocation de la vie de cet homme, son parcours déchiré, sa clarté, je voudrais le serrer dans mes bras. Et de citer Jacques Brel "Si tu n'es pas Dieu, tu es beaucoup mieux, tu es un homme".
Je suis un vieux bonhomme à la retraite, malade, il m'arrive d'écrire des poèmes, alors Cher Verdinger, je te dédie ce petit haïku Jura-ponais et surtout prend bien soin de toi.
A toutes ces larmes
Qui sont devenues nos armes
Infinie coule la sève
Au bout de nos rêves
Prends bien soin de toi, je t'embrasse de mes amitiés
Francis Odiet de Lausanne