J’ai adoré, plongé dans cet atmosphère trouble, suivi la lenteur bienvenue du rythme, jubilé aux rebondissements, admiré les jeux de Lemercier et Schneider, tous deux excellentissimes et me suis régalée longtemps de la toute dernière scène.
Dommage que ce soit un film de Woody Allen, je l’avais oublié cet affreux ..