Comme dans toute série, il y a à prendre et à laisser (origines d’Esvet bâclées dans la dernière saison, par exemple) mais j’ai néanmoins adoré.
Les personnages sont à la fois dérangeants et attachants. Mustafa réalise à lui seul une performance, les scènes sont tournées dans des lieux superbes, la « folie » de Dimitri est tout autant insupportable que touchante quand on comprend l’ambivalence de ce garçon, idem pour l’immobilisme affiché de Peyami …
Une atmosphère qui peut dérouter mais dans laquelle on se laisse couler et qui nous emmène chaque fois vers l’épisode suivant avec envie.