Bon, on est adepte ou pas de DUSTAN, comme de GUIBERT d'ailleurs (ce dernier étant plus "soft", pour ma part) . Toutefois, les récits de ces auteurs nous ramène à la tragédie (presque oubliée) du début (visible) de l'épidémie du S. I. D. A. .... Si DUSTAN est cru, là où parfois GUIBERT, aime (trop) l'amour.... Point de reproche toutefois, pour ma part sur l'œuvre de ces deux auteurs si proches (le sujet, forcément) et differents (l'approche de la maladie et la façon d'y faire face ainsi que le le barebacking pour DUSTAN). Auteurs oubliés, mals compris, mais nécessaire à la nouvelle génération qui n'a pas connu le fléau de cette terrible maladie.
À faire lire au lycée en cours de français.
Merci
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