Giorno regarde peu à peu décliner puis mourir un de ses personnages, Pauline de THÉUS, une femme à laquelle il a donné vie et que, à travers Angelo le Hussard, il a lui aussi aimée. Il semble qu’il soit devenu le petit-fils de Pauline, la voyant avec tendresse et vigueur s’échapper à elle même abandonnée par son corps. La fin d’une vie ouverte à tous les orages. Un livre puissamment humain