Anne CHERON BACHELARD

Un sujet se voulant fin alors que le thème est traité grossièrement. Au debut, une femme avocate parfaite très zen face à un beau fils odieux, très zen aussi face à un mari plaintif, défendant des mineurs maltraités et vivant elle même ce rôle de bourreau ( comparaison peu subtile), un mari qui finit par fermer les yeux sur cette situation glauque. Sans parler de cette façon de tourner facile avec des gros plans récurrents infiniment longs qui n éveillent pas la sensibilité du public et n apporte qu une explication de texte superflue. . Quant au rapprochement progressif entre les 2 protagonistes du film, il est du domaine de la grosse cavalerie. Et tout cela ds un contexte irréaliste oú cette femme passe sa vie chez elle sans la moindre marque de stress alors qu elle est avocate, elle part en pleine réception d amis sur une trottinette s enivrer avec son beau fils, elle s envoie en l air alors que ses filles sont à côté, le mari ne se réveille pas en pleine nuit qd qq tambourine à la porte alors qu elle sursaute... Beaucoup d incohérences. Insipide