Ce livre est différent de la pensée qu'ont certains écrivains africains de dire que l'Afrique doit changer pour évoluer.
L'auteure ici dit en des termes directs les tares des africains eux mêmes quand à leur volonté de changer.
Bien qu'il soit intéressant et pertinent, les limites seraient entre autres la pseudo démocratie participative populaire, qui est comme cette corde attachée au pied d'un animal et qui à chaque fois est rallongée pour laisser croire qu'on l'a libéré ; l'individualisme de nos dirigeants qui n'ont qu'un objectif général masqué en plusieurs exemplaires de promesses et de souhaits : satisfaire leur groupuscule et laisser le peuple dans ses problèmes. D'où d'un point de vu néophyte et populaire, l'africain a cette envie de changer et de faire changer les choses, mais n'a pas le droit d'exercer son droit sur sa société sans avoir à faire au groupe dirigeant.