Scènes de combats irréalistes. Le héro qui enchaine les 1 contre 50 et ressort sans une égratignure. En plus il fait même des combat à mains nues contre 10 militaires armés jusqu'aux dents.
Des dialogues males écrient et des scènes ou on essaye d'instaurer la peur dans le cœur du méchant car "il a provoqué le mauvais gars" et maintenant, même le FBI ne peut rien pour lui. Une pâle imitation de la scène iconique de john wick 1 lors du fameux dialogue entre le père et le fils nous est proposé.
Une organisation ultra méga giga secrète dont les membres se baladent en faisant tout péter en étant déguisés avec des vêtements ridicules et tape à l'œil.
La seule chose qui sauve ce film c'est Jason Statham. Mais même lui ne suffit pas.
Le cinéma américain est vraiment sur la fin.