Anais Barbeau Lavalette est adorée par l'Intelligentsia Montréalais... alors tout ce qu'elle fait est INCROYABLEMENT BON...
Les critiques sont dithyrambiques, sauf quelques unes.
Dans ce film, il y a beaucoup de GROS plans, beaucoup de GROS PLANS FLOUS et les dialogues sont imperceptibles, bien qu'il n'y en aient pas beaucoup, il arrive souvent qu'on ne saisisse pas ce que les comédiens disent.
Ce film n’est pas allé bien loin dans le mal de vivre des jeunes. Il fallait le saisir dans leur consommation ininterrompue de dopes ???
Rien n’allait loin, le malaise était à peine perceptible selon moi. Ce qui ressortait, c’était le besoin de faire la fête en se gelant la bine à outrance. Je sais bien que cela indique un mal de vivre ou autre mal.
Les jeunes des "70" étaient révoltés, ils voulaient changer le monde...
bien sûr ils faisaient aussi le party, mais il y avait sous ce mal de vivre, une révolution.
Cette génération n’est pas la même, mais elle m’a semblé mal dépeinte par Lavalette.
Dommage, plusieurs ont aimé le livre ?? Je ne l’ai pas lu et ça ne m'a pas du tout donné le goût de le lire.
Il ne m’est resté qu’un malaise, malsain…