Je ne me souviens pas avoir entendu de musique, des chants d'oiseaux familiers, oui, des craquements de bois, de plancher, de.... oui, des froissements, des respirations de trop gros mangeurs, oui, le corps de Magimel et sa respiration. La composition des personnages. Leur engoncement,... devient compréhensible. À partir de là , on peut réinterpréter tout cet objet film. Le scénario ne deviendrait il pas une symphonie ? Les images autant que les mots et les noms sont la chair du film. Je me suis régalé. Une belle œuvre.!