Armand Bordonado

Cette émission est animée par des FÉDÉRALISTES (pour la plupart LIBÉRAUX), dirigée par Paul Larocque (67 ans) anti souverainiste et anti PQ viscéral avec des panellistes du genre Luc Lavoie (69 ans) un fanatique canadien colonisé et injurieux, d'une méchanceté sans limite et par surcroit sans aucun argument valable. Ajoutons à cela, la co-animatrice Emmanuelle Latraverse (transfuge de Radio Canada , qui vit en Ontario) comme son collègue Larocque, elle aussi une anti indépendantiste et anti péquiste viscérale. Pour poursuivre dans la même veine, nous y trouvons aussi l'ineffable Thomas Mulcair (70 ans, ancien transfuge du PLQ au NPD fédéral) qui est venu s'installer d'Ottawa (il y est né en 1954) à Montréal en 1978, et qui était en 1983 le directeur des affaires juridiques à Alliance Québec, un groupe de pression pour la communauté anglophone du Québec, à peu près du même genre que Luc Lavoie. Pour clôturer une partie de la Liste de panellistes, le très controversé Gaétan Barette (68 ans), notre ancien ministre de la Santé du PLQ, qui se passe de commentaires. Tous ces 'anciens' ont une place prépondérante dans les échanges souvent acrimonieux, manquent de respect aux autres panellistes, ont une argumentation particulièrement faiblarde, d'avantage colorée de préjugés et de mépris envers les francophones de souche. Je présume que vous n'aimerez pas du tout mon 'réquisitoire' à propos de vos émissions La Joute et Le Bilan. Bien sûr c'est mon opinion personnelle, mais je suis persuadé qu'elle est partagée par énormément de québécois francophones. Je ne suis pas de première jeunesse puisque j'ai 86 ans, mais je considère que c'est une erreur de votre part de conserver comme animateurs et panellistes un trop grand nombre de gens qui, par leur âge avancé, sont malheureusement coupés de la réalité du Québec actuel.

Cette série propose une image de la vie de cette époque (1986-89) en mettant le focus sur la vie de quatre femmes, aux aspirations et perspectives quelque peu différentes. Les rapports hommes-femmes y sont traités avec réalisme et perspicacité. Bien sûr, nous y retrouvons une certaine nuance de féminisme mais sans excès.