Pierre Niney ne rentre pas dans le personnage et n'arrive a aucun moment a nous faire partager sa passion pour Mercedes et surtout sa haine. Les musiques sont sensées appuyer une certaine dramaturgie mais elles interviennent de manière convenu et mécanique. Les decors par contre sont magnifiques mais ne suffisent pas à camper l'atmosphère du roman de Dumas. Seule Aba Maria Vartolomei tire son épingle du jeu par son jeu profond et son émotion a fleur de peau. Déception absolue.