Voilà un roman littéraire, c’est-à-dire où la littérature s’offre comme à la fois une bouée de secours et aussi une force perturbatrice de l’uniformité des temps répétitifs et maussades, une série de masques-evènements salvateurs au cours d’une journée mouvementée et in fine, la dérive d’un amour-chagrin dans la plus belle des villes…
Sur le plan de la forme du récit, une présentation originale qui rappelle ce que jadis on appelait un prosimètre (prosimetrum en latin) qui donne à l’ensemble sa petite musique très poétique.