L’écrivain n’est pas neutre dans l’analyse des faits historiques. Dés le début du livre, il parle de Jésus comme un homme violent qui n’aime pas la famille en sortant du contexte deux versets bibliques , pour étayer son jugement. Surprenant pour un écrivain d’une telle envergure. Alexandre Le Grand n’avait pas les yeux vairons alors toutes ces extrapolations éloignent l’idée d’en apprendre davantage sur l’histoire authentique d’Alexandre Le Grand. Dommage !