Francois Holzl

Dans ce film qui devrait exalter la musique on entend plus de mots pédants que de notes frissonnantes. C’est donc un film long et verbeux, que le prisme wokiste rend abscons et agaçant. Comme la jambe tremblante du musicien non genré qui juge la musique malgré tout géniale des vieux blancs cisgenres, inentendable et traite Tàr de salope. Ce film est l'antithèse d'Amadéus de Milos Forman. Reste l’interprétation de Cat Blanchett impeccable et brillante. Boulversifiante comme disait Toscan... Je suis vénère mais je veux voir la fin de ce film, comme on assiste au passage d’un OVNI. Comme un wokiste, je reste éveillé et je me dis que le pouvoir n’a pas de sexe et que la lutte des classes est toujours de mise. J’enfile mon gilet jaune de la France d’en bas pour voir la fin du film, courage encore une heure !! .... Je vais le revoir pour mieux comprendre ce film long en bouche comme un vieux Médoc.