J’avais adoré les désorientés
Et même si le prémice de nos frères inattendus est intéressant et pousse à la réflexion, son écriture est indigeste. Les personnages sont coupés sur le même patron, avec le même ton alambiqué et lourdeau.
Répétitif. Un chouïa sexiste dans la description des personnages féminins, qui sont surtout vus via le prisme de leur apparence physique.
La psychologie d’Alec, le héros du livre, est vide et aucun mouvement de l’âme, qui vaille la peine d’être décrit, ne s’opère en lui.
Bourré de clichés stylistiques.