Florian Landès

Un film avec de belles références comme le Shining de Stanley Kubrick avec ses effets visuels (l’interminable couloir aux couleurs vintage ou les toilettes au début) et Cronenberg. Dommage que le scénario veuille absolument nous coller une morale militante de l’histoire (« les mecs sont tous de gros dégueulasses et c’est la faute des injonctions du patriarcat » et bla-bla-bla) sinon ce serait un quasi chef d’œuvre. On ne s’ennuie pas une minute dans ce film d’horreur qui aurait pu rester ce qu’il est et non pas se transformer en une vitrine idéologique woke. La fin vire au tragi-comique tant la scène gore est exagérée. C’est quand même réussi cependant vu une fois je n’irais pas revoir ce film, contrairement à celui de Kubrick dont on ne se lasse jamais…