Alain Boisvert

C’est un film sur le conflit au Vatican entre la gauche woke et l’extrême-droite. Pis contrairement à ce que ces idiots d’Américains ont décidé, les cardinaux ne se trompent pas et ils votent pour un pape hermaphrodite. Oui madame !

La dernière partie est complètement déconnectée de ce qui précède. Il est difficile de ne pas penser que c’est un collage artificiel d’un court métrage à un moyen métrage. Reste que la mise en scène est très convaincante et la direction des acteurs très authentique. Et les enjeux dramatiques s’avèrent assez troublants. Théodore Pellerin, tout un acteur.

Pas de doute, c’est un film merveilleux, inoubliable, immensément romantique.

Voilà, c’est fini, incluant les adieux. Ma série indépassable à vie a déjà été Les Sopranos. Puis, il y a eu Breaking Bad. Maintenant, c’est définitivement Ozark. Tous les acteurs de la série ont été fabuleux mais mon coup de cœur va à Julia Garner. Et le maître, le sorcier derrière tout ça Jason Bateman, tellement généreux. Extraordinaire !

C’est merveilleux. La finale du dernier épisode est sublime. Ricky Gervais est probablement le plus grand créateur comique de notre époque. Et du cœur, il y en a plein.

C’est super kitsch, cousu de fil blanc, parfaitement prévisible et formaté Netflix à fond mais c’est adorable. On ne s’ennuie pas une minute, les échecs, avec ses protocoles, ses mythes et ses fantasmes, ne constituant que le prétexte, certes magnifié, de nos luttes pour se dépasser. On peut donc dire que c’est une sorte de catharsis à gogo.