Je tiens a mentionner un fait troublant suivant ma tendre vision du long métrage évoqué par Pierre Niney. En effet, je fût abasourdis d'apprendre que le corps de la douce Aida fût camouflé sous ses tendres abit, mais en plus à l'abris de mes yeux luminant qui n'attendais que de percevoir le charme de son bucket. Dépourvue de vie, ce n'est pas suffisant pour décrire l'état dans lequel je me retrouve suite a cette absurdité cinematique francaise.