Georgette Casanova

Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Beaucoup de subtilité dans le positionnement des personnages et donc avec le regard que l’on porte sur eux. Il n’y a pas de frontière pure et dure entre le bien et le mal. Le côté obscur est présenté plus comme une alternative plutôt que comme le stéréotype du « c’est moi le méchant » et ça fait du BIEN! Il y a de la nuance. Il y a de la construction des personnages sur un plan émotionnel crédible, viable et plus en profondeur. La question du deuil, l’acceptation du soi imparfait, et la remise en question sur la noblesse des intentions que chacun peut interpreter a sa maniere, ENFIN de quoi s’identifier. Encore une fois il y a beaucoup de nuances et ça fait réfléchir. Foncez. PS: et jason mendoza une dinguerie aussi