Chantal Oger

Au début, j'ai trouvé décousu. Et ,tout en écoutant Nina Simone, ( je n'aime pas le 'jazz car il m'apporte "le bourdon" ) je suis rentrée dedans. Ce ne sont pas des souvenirs, mais , le dernier chapitre lu dans les larmes , amène la nostalgie de ce qui aurait pu être différent , selon un contexte différent. La situation actuelle ne nous rend pas joyeux. Les seniors isolés, , nous demandons à quoi ressembleront nos dernières années ? Faut il insister? Malgré les efforts à ne pas le montrer, ON nous croit forts, parfois, mais nos cerveaux ont fait des noeuds. En tous les cas, ce livre a permi que je me dépasse , ce que je ne suis jamais arrivée à faire : en parler.