2h30 pour cette insulte envers le public. Ça ne raconte rien, tout est étiré, même les acteurs ont l'air de se remettre à l'ordre lorsqu'ils récitent leurs dialogues trop rapidement. Le seul gagnant dans ce récit est le responsable de la photographie. On se désole pour Magimel dont le personnage de commissaire se résume à rencontrer et saluer des gens mais de loin pire pour les habitants de la Polynésie d'avoir accepter de figurer de façon aussi primitive devant la caméra de Serra.