Série qui me semblait prometteuse, mais dès les premières minutes, on nous balance un concentré de stéréotypes.
- La femme noire en mode "angry black woman" (la femme noire en colère) comme disent les Anglo-Saxons, représentée par Mia Warren, qui tire toujours une tronche bizarre et qui est constamment sur la défensive. Mère célibataire, le père est inconnu pour l'enfant. La monoparentalité touche plus les femmes noires américaines que les femmes blanches amércaines. Remplie de culpabilité, elle fait le transfert de son histoire sur celle de sa collègue et de son enfant. Mouais.... ;
- La femme blanche en mode "cucu la praline" qui ne fait que de s'écouter parler, qui débite à la seconde et qui dans un premier temps, joue la "Karen" en appelant son ami flic à la vue d'une voiture de bas de gamme, dont la proprio est une femme noire. Puis dans un second temps, on asisste à une Elena qui se la joue "white savior" et qui se sent presque coupable de sa condition sociale et cherche à soulager sa consience ;
- L'enfant batarde qui est en mode "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil", mais ne va pas hésiter à se taper le grand frère du mec qui la kiffe et qui ne sont autre que les enfants de la Elena qui se la joue bon samaritain avec Pearl et sa mère. Tellement naïve, elle sert de bouche trou à la fille ainée d'Elena.
Je vais m'arrêter là .