Mauvais ! Jusqu'à la moitié on se laisse aller. La suite n'est qu'une succession de blablabla, de répétitions, d'invraissembances qui nous amènent à une suite interminable. Trois cents pages de moins et un peu de suspense auraient pu en faire un livre intéressant.
Monsieur Dicker, en tant que suisse, ferait mieux d'arrêter d'écrire et de vendre du chocolat.