J'ai personnellement trouvé un excellent film, il n'est pas exempt de défaut mais il a de solides faire valoir audiovisuels.
L'esthétique et son habillage vintage type talk show/TV /plateaux musicaux des années 1970 se couple parfaitement aux diverses pâtes lumineuses et colorimétriques que Todd Philips utilise pour habiller la trame. le rythme est habile car très peu prévisible et attendu, il s'accompagne d'une mise en scène qui décrypte symboliquement ( et à divers reprises) les aspects de la personnalité du joker tout en se moquant du fait même de vouloir décrypter sa psychologie (ou de l'idée qu'a le personnage de s'en libérer) les musiques ne sont pas toutes
mémorables mais l'aspect comédie musicale n'est absolument pas lourd. La Harley Queen de lady gaga est + cerebrale que délurée et son développement corrélée à la romance du film est loin d'être caricatural puisqu'il explore une structure originale. la fin du film amène une conclusion frustrante mais très « bien vue » et emplie d'une sémantique forte si on la met en parallèle avec la fin du premier film. le joker c'est plus qu'un personnage, c'est l'incarnation de celui qui est moqué mais qui se rit du monde face à lui en montrant le cirque qu'il constitue. Et il est immortel car même tué c'est l'esprit qu'il véhicule qui sera repris par ceux qui endosseront son apparence. En écho au fait qu'il a été explore une structure originale. la fin du film amène une conclusion frustrante mais très « bien vue » et emplie d'une sémantique forte si on la met en parallèle avec la fin du premier film. le joker c'est plus qu'un personnage, c'est l'incarnation de celui qui est moqué mais qui se rit du monde face à lui en montrant le cirque qu'il constitue. Et il est immortel car même tué c'est l'esprit qu'il véhicule qui sera repris par ceux qui endosseront son apparence. En écho au fait qu'il a été incarné dans plusieurs saga par plusieurs personnages, ce film a su pour moi développer cette lecture du personnage dans un format assez unique