j'adore les films sur la boxe, il y a toujours se petit moment qui vous hérisse les poils lorsque l'on voit sont les protagonistes combattre sur le rings au propre comme au figuré.
Le jeu de la dame, c'est la même sensation mais avec les échecs et c'est sans doute bien plus compliqué à mettre en scène qu'un type qui est a terre et qui se relève a la force de son moral.
la c'est tout en jeu de regard, de caméra subtil, de commentaire détourné ou même de partie simplement zappé pour mieux les commenter après coup.
Et a chaque mouvement qui apparaît sur les plafonds exactement le genre de truc qu'on voit dans les shonen sportif, j'ai des frisons de plaisir qui me parcours tout le corps à chaque fois.
De plus le soin extrêmement qui a été apporté au partie elle-même, démontre tout le soin apporté a la série et quels plaisir d'entendre des joueurs discuter de technique qui dépasse les non initié. Mais du coup on a vraiment l'impression d’être dans leurs univers.
Mais bon le coté sport aussi bien mise en scène ne suffit pas pour faire un bon film de sport et là aussi cette orpheline tape fort sur le ring de la vie, on sent la rage, son désespoir, la colère de celle qui n'avait rien et qui a la force de ses partie essaye de se sortir de sa condition miséreuse de femme et d'orpheline tout en portant sur elle les fardeaux de ses traumatismes d'enfance.
Et puis c'est un peu bateau de le dire, mais c'est aussi une belle traversé des années 50-60 et de mise en lumière de la condition de la femme de cette époque et de se fait sur le féminisme.
Reste la mise en scène et la photo que sont là aussi une belle réussite et qui arrive bien a dynamisé les partie et à retranscris la précarité psychologie de notre héroïne.
Et bien entendu un coup de chapeau à tout le casting qui est nickel d'un bout à l'autre de la série.