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Psychonauts 2 est une véritable aventure psychédélique, qui brille autant par son gameplay que par son univers visuel. Le jeu, développé par Double Fine Productions, est une suite réussie qui pousse encore plus loin le concept d’explorer les esprits des personnages pour en comprendre les traumatismes, les secrets, et leurs parts d’ombre. Le personnage principal, Razputin “Raz” Aquato, un jeune acrobate doué de pouvoirs psychiques, incarne parfaitement l’équilibre entre curiosité enfantine et maturité grandissante. Cette fois, il est officiellement intégré aux Psychonauts, une organisation d’espionnage psychique, et doit affronter non seulement des ennemis externes, mais aussi les complexités morales et émotionnelles des personnages qu’il rencontre. Chaque esprit qu’il explore est une véritable œuvre d’art et une fenêtre sur la psychologie des individus, reflétant leurs luttes internes. Par exemple, on visite des esprits empreints de culpabilité, d’anxiété, ou d’addictions, chacun représenté par des mondes oniriques pleins de créativité et de profondeur narrative. Le gameplay, quant à lui, reste aussi inventif qu’amusant, avec des mécaniques classiques de plateforme et des pouvoirs psychiques variés (lévitation, télékinésie, pyrokinesis, etc.) qui enrichissent l’exploration et les combats. Les visuels, particulièrement travaillés, donnent une impression de profondeur et de variété rarement vue dans ce genre de jeux. Chaque niveau est une expérience unique : tantôt une fête foraine surréaliste, tantôt un casino hallucinant, ou encore une ville miniature peuplée d’insectes. L’attention portée aux détails artistiques rend chaque environnement mémorable. Malgré ces points forts, le jeu souffre de quelques défauts. Les cinématiques, bien que riches en dialogues et en humour, sont parfois trop longues, ce qui peut briser le rythme pour certains joueurs. Autre bémol notable : l’absence de doublage français, qui aurait pu rendre l’expérience plus immersive pour un public francophone. Cela dit, l’écriture des personnages est si fine et drôle que cela compense partiellement cette lacune. Avec ses multiples niveaux et son histoire complexe, Psychonauts 2 est un jeu long, demandant un certain investissement. Pour ma part, j’ai joué par sessions de deux heures, et il m’a fallu un bon moment pour en venir à bout. Cependant, le jeu est si bien construit et original que cette durée n’est pas un fardeau. Enfin, difficile de ne pas mentionner les crédits de fin, presque interminables, qui témoignent de l’ampleur de l’équipe ayant travaillé sur le jeu. On reste impressionné par l’effort colossal déployé, bien que le budget du jeu reste un mystère. En conclusion, Psychonauts 2 est une œuvre originale et profondément créative, à la fois divertissante et riche en réflexion. C’est un voyage dans la psyché humaine comme on en voit rarement dans le jeu vidéo, qui mérite pleinement d’être découvert malgré quelques longueurs.

“Finch” est un film porté par un Tom Hanks fatigué mais toujours touchant, incarnant un inventeur solitaire dans un monde post-apocalyptique. Son personnage, malade et conscient de sa fin proche, construit un robot nommé Jeff, doté d’une intelligence artificielle évolutive, pour veiller sur son chien, Goodyear, après sa mort. Le robot, bien que mécanique, se révèle souvent plus expressif et humain que son créateur, avec une innocence presque enfantine qui évolue au fil de leur périple. L’une des scènes les plus marquantes est celle où Jeff, en un geste à la fois tragique et symbolique, s’enduit de sang sur sa carrosserie comme un pacte de survie et d’alliance en un ultime hommage. C’est une image puissante qui illustre la profondeur inattendue de leur relation. Bien que le film n’apporte rien de vraiment révolutionnaire au genre, il se distingue par la beauté de certaines séquences visuelles, notamment les plans magnifiques du camping-car traversant des paysages désertiques baignés par la lumière du soleil. Ces images contrastent avec la mélancolie du récit, soulignant à la fois la solitude de Finch et l’espoir fragile incarné par Jeff et Goodyear. “Finch” est un voyage émouvant sur l’héritage, la transmission, et la survie dans un monde en ruines. On espère que notre bon vieux Tom Hanks, qui semble ici en quête de sérénité, trouvera une belle retraite à la hauteur de sa carrière légendaire.”

Après avoir goûté à "La Mafia : Édition Definitive", j'ai ressenti le besoin de plonger encore plus profondément dans le passé. Le jeu "Saboteur", le dernier titre du studio Pandemic, m'a permis de faire ce bond grâce au Game Pass. Nous sommes donc en 2009, et le jeu nous met dans la peau de Sean, un résistant. Les sensations de tir et de conduite sont parfois même supérieures à celles des jeux actuels. On ressent également une plus grande liberté d'expression sur la violence et une meilleure retranscription de l'époque. Les ennemis sont omniprésents, et l'on peut rapidement se retrouver dans une situation désespérée, même en mode facile, si l'on n'adopte pas la bonne approche. L'immersion dans la résistance est véritablement réussie, et l'on a vraiment l'impression de faire partie de cette lutte. Si vous souhaitez vivre l'expérience d’un Paris occupé et débusquer les nazis, je vous le conseille vivement : il y a beaucoup de choses à saboter !

Je suis passionné par la franchise Mafia. Elle offre des sensations intenses. Avec une multitude de pistolets, les armes sont d'époque, tout comme les voitures. Parfois, le rythme peut sembler un peu lent, mais on a vraiment l'impression de suivre une série Netflix en regardant cette sombre histoire, sans vouloir vous gâcher le plaisir. J'ai adoré découvrir Mafia III, alors j'ai décidé de me replonger dans l'univers en explorant le premier volet. Cependant, la version originale était vraiment datée. Sur le plan technique, cela m'a permis de m'essayer à une version plus moderne, et j'ai franchement apprécié le résultat avec les connexions entre les différents opus. Je vous le recommande vivement si vous appréciez l'univers de la mafia et les jeux de tir à la troisième personne, avec une touche un peu numérique. Un conseil: « ne vous attachez pas trop ».

Je rejoins les avis il est très bof Les dialogues sont à gerber 🤮 Le bestiaire il ressemble à rien Entre le trailer et le jeu t’as une grosse différence

Ça va comme jeu y’a pire… y’a Tchia lol 😝 Il est pas long non plus Je l’ai eu grâce au game pass : Yes 🙌 ! On se demande un peu ce qu’on fou la c’est un mélange des genre, même si il est pas aboutit et qu’il mériterait beaucoup de petites améliorations l’idée est pas mal y’a quelques truc originaux à faire une fois. Le personnage me dérange pas c’est juste l’histoire qui est peu accrocheuse mais le gameplay en revanche est sympa 😊 on se croirait presque dans assassin’s creed origin

Ce jeu offre une expérience visuelle exceptionnelle, atteignant les sommets de ce qui se fait de mieux en matière de jeu vidéo. Je m’interroge sur ce que l’avenir nous réserve. J’ai préféré le deuxième au premier, même si les phases de gameplay sont plus légères. Il offre des moments à couper le souffle.

Le jeu Jedi Survivor s'inscrit dans la série des jeux Star Wars. Le premier volet était déjà excellent, offrant un bon équilibre de difficulté, mais cette fois-ci, nous avons quitté les couloirs pour découvrir un monde ouvert rempli de surprises. Ce changement pourrait perturber les habitudes de certains, mais personnellement, je ne l'ai pas trouvé dérangeant, au contraire, j'ai apprécié de découvrir des secrets et de gagner de nouvelles capacités de Jedi. J'ai créé de nombreuses vidéos sur le jeu pour documenter ma progression, et j'ai été agréablement surpris par certains détails et par l'évolution du personnage Cal, qui nous permet d'en apprendre davantage sur l'histoire, de vaincre des boss, et de profiter de la satisfaction de défaire des droïdes de manière parfois très stylée.

Le jeu est un plaisir à découvrir, à la fois dans l'exploration et lors des phases de combat parfois épineuses. Au début du jeu, je tiens à vous avertir que vous ne disposerez pas de toutes les possibilités et capacités que ce petit Chevalier pourrait offrir à la fin du jeu. Je vous recommande vivement, si vous appréciez les metroidvanias, de vous y plonger, d'autant plus qu'il est sorti en 2017, afin de rattraper votre retard avant la sortie du second opus. Il existe de nombreuses fins disponibles, et chacun y trouvera son compte en fonction du niveau de défi qu'il souhaite relever. La mienne m'a énormément plu, même si l'histoire regorge de secrets et de mystères. J'espère qu'un jour nous aurons accès à la version des développeurs, sinon nous devrons nous contenter de notre interprétation personnelle.