Une publicité pour le tabagisme entrecoupée de chansonnettes les unes mois inspirées que les autres.
Si le premier était à mon sens passable bien que long par rapport un scenario un peu creux, dans celui-ci le vide se ressent davantage car on a spolié Phoenix de son aura et…il n’y a pas d’histoire.
L’amourette est d’une lourdeur embarrassante et le procès tourne court sans aucune scene interessante ou coup de théâtre.
Ce qui m’a le plus gêné, et qu’on ressentait déjà dans le premier, c’est l’omniprésence de la cigarette pour donner aux personnages et en particulier au Jocker l’air “cool”, ils ont même surfé sur l’ambiance 70’ pour te foutre de clopes à l’intérieur des lieux publiques, un peu partout, c’est connu, fumer est tellement à la mode en 2024, ça donne tellement de profondeur aux personnages…no comment
Le film de trop…encore une fois.