Il n'est pas question de cracher sur ce que l'aide aurait permis de réaliser en Afrique. Le recule épistémologique laisse tout observateur contemporain africain sur ses réels "bien-faits". A son l'état actuel, je corrobore avec les propos de Dambisa Moyo l'aide internationale est une arme de destruction massive. Elle anesthésie les esprits des récipiendaires, maintien la culture, les économies et politiques de ces derniers, bien évidemment avec l'onction d'une élite intellecticide en berne.