Ganiech Dabou

Bon je ne m’attendais pas du tout à ça. Foresti est sorti de son registre habituel pour souligner par endroit un féminisme devenu manichéen « les méchant et les gentils » et décérébrés. Ici les hommes et les femmes en prennent pour leurs grade. La nuance est de mise et le bon sens mis à l’honneur. Et oui, personne n’est parfait, n’en déplaise aux neo progressistes, neo convertis, neo imbeciles qui se lise ici même dans les avis. On en voit déçu que le spectacle ne se retourne pas, déçus que son spectacle ne soit pas juste misandre ou pro féministes, en gros déçu qu’elle soit nuancée. Ces gens sont les nouveaux réactionnaires fasciste qu’ils voudraient si bien dénoncer. Bref… des idiots ultra connectés déconnectés de la réalité. Foresti est une des rares humoristes féminine avec Blanche Gardin a me décrocher des rires. Les autres tourne autour de leur nombril et de leur utérus. Merci Foresti d’oser aller à contre courant et de mettre intelligemment en perspective le déclin culturel et doctrinal contemporain. Notre société vit un grand malaise qui se développe de manière exponentielle, ou en seront nous dans dix ans ? Cinq ans ? J’espère que tout cela changera et que nous trouverons un compromis raisonnable, une équité et non une égalité des sexes… parceque c’est dans une sémantiques biaisée que le mal commence à prendre ses racines. Vive les femmes, vive les hommes et que les woke se réveillent véritablement.