J'ai ,au départ de la lecture, apprécié et retrouvé la griffe de l'auteur...
Mais dès la moitié du livre on sature par les lieux-communs, poncifs et traits caricaturaux d'une sorte de bienpensance vulgaire et aboutissante .
De plus certains dialogues attribués aux principaux protagonistes,sensés être des professeurs d'histoire à la Sorbonne, sont plutôt dignes d'échange de connaissances d'un marché aux puces, ou d'un PMU.
J'ajouterai un anachronisme linguistique quant à la pratique de l'hébreu comme langue commune et vulgaire dans la Jérusalem du IX° siècle après JC .
On dirait que le livre a été écrit dans la précipitation pour ne pas dire bâclé par rapport à des ouvrages antérieurs de Bernard Werber.
Certes la critique est facile mais l'art plus difficile.
Mais à la fin j'ai pris beaucoup moins de plaisir à la lecture de cet ouvrage presque laborieux.
En espérant que le prochain soit mieux inspiré et élaboré.