Le titre même , FERRARI, laisse le choix : l'homme , ou la voiture? Et on a un peu de peine pour Pénélope Cruz, qui a peu de marge, entre la voiture et la maîtresse.. Il est donc question de deuil, d'argent, de compétition,et l'aventure industrielle, la course sont peu évoquées., Le morceau de bravoure des Mille Milles arrive, tard, aussi impressionnant qu'il soit, Et le plus gênant, tout au long, c'est le choix de la langue:l'anglais de Modène, ça n'existe que pour les producteurs! impératifs du marché, mais les acteurs souffrent , comme nous de ces accents improbables. Frustration pour les amateurs de bolides, déception pour ceux qui aiment la virtuosité et la secheresse du style de Michael Mann. Quant à ceux qui suivent avec passion Adam Driver,ils attendront avec indulgence son prochain projet!