Georges Fleury a repris le récit de mon père le colonel Paul VERNIÈRES , capitaine à l’époque.
Celui ci a été laissé pour mort sur le terrain en défendant ses hommes , épargné par les jap le croyant mort à terre, atteint par plusieurs éclats d’obus dans la tête !
Récit juste et identique au déroulement des faits historiques.