The Green Knight est une expérience quasi unique, qui plus est dans un paysage cinématographique ultra-balisé. Allant même jusqu'à redéfinir le(s) genre(s) : la chevalerie, la fantasy, le conte, la quête initiatique.
A l'instar de Blade Runner, Les Fils de l'Homme, 2001, dans la SF, "The Green Knight" crée sa propre mythologie et crée sa détonation à qui accepte de se laisser embarquer dans son voyage.
De mon point de vue, il y a un "avant" et un "après" "The Green Knight".
Thématiquement extrêmement riche, visuellement époustouflant. Le fond et la forme sont à l'unisson.
L'histoire, le scénario, la mise-en-scène, la photographie, le montage, les actrices, les acteurs, la déco, les lieux de de tournage, le son, la bande originale, tous les départements convergent vers un seul point : Celui d'un accomplissement cinématographique exceptionnel.
C'est comme tomber amoureux, il est nécessaire d'accepter de se laisser emporter.